Vous cherchez un élevage de chiens près de Cavaillon, Carpentras et Orange digne de confiance ? Vous êtes à la recherche de Pomsky à vendre à Avignon et dans les villes avoisinantes ? En tant qu’éleveur de chiens, je vous accueille au sein de mon élevage de Pomsky à Avignon pour vous proposer plusieurs Pomsky, ainsi que les informations et les conseils indispensables pour bien s’occuper de votre nouveau compagnon à quatre pattes.
Le Pomsky est né en 2012 de l’autre côté de l’Atlantique. Le projet du Pomsky a cependant germé dans la tête de ses créatrices, Tressa Peterson et Joline Philipps, en 2009.
Les deux éleveuses croisent un mâle Poméranien et une femelle Husky et donnent le nom de Pomsky aux chiots. Le succès de la race est immédiat aux États-Unis, et on compte désormais plus d’une trentaine d’élevages.
En revanche, le Pomsky est beaucoup plus confidentiel en Europe, d’autant qu’il n’existe aucun standard, la race n’étant pas reconnue. Il est donc difficile d’être certain d’obtenir un vrai Pomsky, et il convient donc de se montrer particulièrement prudent.
Cette race de chien possède à la fois les particularités du Husky et du Poméranien, ce qui fait tout son charme, mais saviez-vous qu’il existe différentes tailles de Pomsky ? On compte en effet trois variétés de Pomskies : petite, moyenne et grande.
La taille adulte du Pomsky peut osciller entre 20 et plus de 40 centimètres au garrot, en fonction de la variété du chien. Le Pomsky peut donc être à la fois un chien de taille moyenne, un petit chien ou un chien nain. Il en va de même pour le poids : entre 2 kg pour les individus les plus petits et 20 kg pour les individus les plus grands.
Le Pomsky n’étant pas reconnu par la Fédération Cynologique Internationale, il n’appartient à aucune catégorie de chiens et ne porte aucun numéro.
La plus petite variété de Pomsky mesure entre 20 et 30 cm au garrot. Les petits Pomskies appartiennent à la première génération (F1), à la seconde génération (F2), et à la troisième génération (F3).
Le Pomsky moyen mesure entre 31 à 40 cm au garrot pour les Pomskies F1 et de 30 à 35 cm au garrot pour les Pomskies F2.
Le grand Pomsky mesure plus de 40 cm au garrot. Il s’agit de Pomskies F1.
Il existe donc une grande disparité entre les individus. Il est totalement impossible de prévoir la taille de l’animal à sa naissance. Il peut aussi arriver que le Pomsky soit un peu plus grand que la moyenne d’un grand Pomsky. Cependant, les portées de Pomskies de la 2e génération et de la 3e génération sont en général plus homogènes. Leur taille est donc un peu plus facile à estimer, mais toujours sans aucune garantie.
Observer les parents ne suffit pas pour connaître la taille future du chiot. Il existe une part de hasard, en raison de la génétique. Un Pomsky qui tient plus du Husky aura des chances d’être un peu plus grand, mais toujours sans certitude.
Un Pomsky de première génération, dit F1, est un Pomsky issu d’un croisement entre un père Spitz nain et une mère Husky. Un Pomsky de deuxième génération, dit F2, est issu d’un croisement de deux Pomsky F1.
Enfin, un Pomsky de troisième génération, F3, est issu d’un croisement de deux Pomskies F2. Les Pomskies des dernières générations sont en général de plus petite taille. Votre éleveur doit impérativement être en mesure de vous dire à quelle génération appartient votre futur chien.
Le poids du Pomsky dépend bien évidemment de sa taille, mais là encore, impossible de prévoir. Il est possible que votre chien pèse plus que ce que vous aviez estimé, ou inversement.
Le petit Pomsky pèse entre 2 et 6 kg. C’est donc un chien très léger. Cela présente un avantage pour voyager avec lui, notamment en avion. Les chiens de moins de 6 kg sont autorisés à voyager en soute.
Le Pomsky moyen pèse entre 6,5 et 11,5 kg pour les Pomskies F1 et entre 6 et 9 kg pour les Pomskies F2.
Enfin, le grand Pomsky pèse entre 12 et 20 kg. Il s’agit d’un chien de taille moyenne. Renseignez-vous avant de partir en voyage avec lui, car il existe des conditions particulières pour les toutous de ce gabarit, en train comme en avion.
Peu importe la taille de votre Pomsky, il convient toujours de se montrer très prudent lors de la croissance de votre boule de poils. Cette période est, en effet, délicate, et des problèmes articulaires sérieux et persistants peuvent apparaître si aucune précaution n’est prise. Il faudra donc veiller à ne pas trop solliciter votre chiot durant quelques mois et à modérer les exercices.
Attention : si vous vivez en appartement avec votre Pomsky, votre immeuble doit impérativement disposer d’un ascenseur !
Le corps du Pomsky reste assez lourd, malgré sa petite taille, mais conserve malgré tout une silhouette harmonieuse. La tête est arrondie sur le sommet, bien proportionnelle au reste du corps. Les oreilles sont petites et triangulaires, bien fournies en poil.
Les yeux sont en forme d’amande, bien espacés. Ils sont de couleur marron ou bleu, mais les yeux vairons sont acceptés. Enfin, la queue du Pomsky est bien fournie en poils et est recourbée lorsque le chien est en action.
Le Pomsky possède un pelage long ou mi-long. Son poil est double et lui confère une excellente protection contre les intempéries. Il tient, après tout, du chien nordique ! La robe est bien fournie, mais ne nécessite pas forcément un gros entretien.
Côté robe, toutes les couleurs sont acceptées pour le Pomsky.
Le Pomsky a besoin d’un bon coup de brosse une à deux fois par semaine en période normale, puis tous les jours en période de mue, car le Pomsky perd beaucoup ses poils. Vous n’avez pas besoin de laver votre chien trop souvent : un à deux bains par an sont parfaitement suffisants, sauf si votre compagnon à quatre pattes est très sale ou sent mauvais. Si la mauvaise odeur persiste, consultez sans attendre votre vétérinaire.
La race de chien Pomsky est un peu à part. Non reconnue par les grandes instances canines du monde, elle est très récente, et ses caractéristiques ne sont pas encore bien fixées. Le tempérament du Pomsky dépend d’un certain nombre de différents paramètres.
Établir un tempérament applicable à tous les Pomskies est assez difficile, car plusieurs paramètres sont à prendre en compte. Encore aujourd’hui, il est presque impossible de donner une liste précise, car la race est très récente et n’est pas encore tout à fait fixée.
De plus, le caractère du Pomsky peut grandement varier d’un individu à un autre, en fonction du pourcentage de Husky ou de Pomeranian.
Certaines qualités semblent cependant ressortir plus que les autres. Le Pomsky serait ainsi un chien :
Gardez en tête que le Pomsky est un chien un peu particulier. La race, non reconnue, ne dispose pas d’un standard établissant clairement les différents traits de tempérament que l’on peut retrouver chez un chien. De plus, le caractère du Pomsky peut grandement varier en fonction du pourcentage de Husky de Sibérie ou de Pomeranian.
Avant une telle adoption, prenez bien le temps de vous renseigner et de discuter avec votre éleveur. C’est lui qui sera le plus à même de vous renseigner sur le caractère de ses chiots, afin de choisir le compagnon idéal pour vous.
Les traits de caractère présentés ici sont indicatifs. Il est possible que votre Pomsky s’en éloigne : cela ne doit pas être une source d’inquiétude.
Comme ses deux ascendants, le Loulou de Poméranie et le Husky Sibérien, le Pomsky est un toutou intelligent et à l’esprit vif. Ne croyez pas pour autant que cela sera forcément un avantage pour son éducation, pas toujours évidente !
Un chien de la race Pomsky se montre affectueux avec son maître et sa famille, de qui il est tout de même assez proche. Il aimera passer du temps avec eux, même s’il n’est pas un pot de colle comme d’autres races de chiens. Il faudra cependant bien lui apprendre à rester seul, surtout si vous vivez en appartement avec votre Pomsky.
Le Pomsky est un chien dynamique. S’il tient plus du Husky, il sera même très énergique et aura besoin de se dépenser chaque jour. Dans le cas contraire, vous iriez au-devant de sérieux problèmes de comportement. Pensez à acheter des jouets à votre chien pour l’occuper durant vos absences et passez, chaque jour, du temps avec lui.
Le Pomsky présente des points qui doivent attirer toute votre attention, mais là encore, il ne s’agit que d’indications générales. Il reste possible que votre Pomsky ne présente aucun des problèmes évoqués ci-dessous.
Le Pomsky a parfois du mal à s’entendre avec les chats et les enfants. Ces derniers, en raison de leur agitation, peuvent créer des situations de stress pour le chien, qui risquerait alors d’avoir des mouvements d’humeur.
En fonction de la taille de votre Pomsky, il pourra faire assez mal aux tout-petits. Il faut donc accorder une importance particulière à la sociabilisation de votre chien, afin d’éviter ce genre d’incident.
Si votre Pomsky tient surtout du Husky de Sibérie, alors il y a de fortes chances pour qu’il soit plutôt indépendant, voire fugueur s’il s’ennuie. Il faudra donc veiller à ce qu’il puisse se dépenser suffisamment en lui achetant des jouets pour l’occuper et en le promenant longuement chaque jour.
Les Spitz et les chiens nordiques ne sont pas toujours les chiens les plus faciles à éduquer. Votre Pomsky, qui descend de l’un et de l’autre, pourra donc vous donner du fil à retordre. Montrez-vous patient avec lui, soyez ferme, mais bienveillant et bannissez toute forme de violence.
Comme le Husky de Sibérie, le Pomsky peut ne pas supporter la solitude. Il pourra plus facilement la tolérer s’il tient majoritairement du Poméranien, mais ce n’est malgré tout pas un chien fait pour attendre son maître durant des heures. Il deviendrait malheureux, et sa santé pourrait se détériorer.
Le Pomsky peut se montrer un peu ronchon face aux enfants, surtout si du sang de Spitz coule dans ses veines, et il n’est pas particulièrement amical avec les chats, les chiens et les autres animaux. Si vous avez un autre animal de compagnie, montrez-vous prudent. Ce n’est pas un chien de garde, mais c’est un excellent chien d’alarme, qui se met à aboyer pour donner l’alerte, et il est plutôt méfiant avec les étrangers, sans pour autant être agressif.
Le Pomsky peut convenir à plusieurs types de famille. Il est cependant important de prendre en compte son ascendance et de savoir s’il tient plus du Husky ou non, car les besoins ne seront pas toujours les mêmes. Certains toutous devront se dépenser plus longuement que d’autres, et leurs maîtres doivent donc être capables de s’en occuper correctement.
On dit souvent que le Husky n’est pas une race de chien capable de vivre en appartement, à moins que son maître ait suffisamment de temps à lui consacrer chaque jour. C’est en effet un animal très énergique qui a d’importants besoins en dépenses physiques. À l’inverse, le Poméranien est un chien de petite taille, beaucoup plus apte à vivre dans des logements à la surface réduite.
Si vous vivez en appartement, pouvez-vous adopter un Pomsky ? Eh bien, rassurez-vous, le Pomsky est tout à fait apte à vivre en appartement ! Il aura aussi besoin de se dépenser, mais la vie dans ce type de logement ne devrait pas lui poser problème tant que vous lui consacrez suffisamment de temps. Bien sûr, le Pomsky sera aussi très heureux dans une grande maison avec un jardin.
Vous vivez en appartement et vous rêvez d’adopter un Pomsky. Vous craignez cependant que votre futur chien ne s’adapte pas du tout à votre type de logement. Mais vos craintes sont-elles justifiées ?
Vous avez très certainement entendu, au cours de votre vie, cette idée persistante que les grands chiens ou les chiens de taille moyenne sont incapables de vivre en appartement. Manque de place, absence de jardin, ennui… Autant de justifications qui, pourtant, sont plutôt erronées. En effet, ce n’est pas la taille d’un toutou qui va déterminer s’il est plus apte que d’autres à vivre en appartement ou non !
Des chiens, comme le Dogue Allemand, le Bouvier Bernois ou même le Saint-Bernard, peuvent être heureux dans ce type de logement, tout simplement parce que ce ne sont pas des chiens qui ont de gros besoins concernant les dépenses physiques. À l’inverse, des races plus petites, comme le Beagle ou le Jack Russell Terrier, tous les deux des chiens de chasse, sont des boules d’énergie qui doivent courir chaque jour.
Le bonheur d’un chien dépend surtout de la capacité de son propriétaire à passer du temps avec lui et à s’en occuper. Un toutou laissé seul au fond d’un jardin, qui ne sort jamais, sera beaucoup plus malheureux qu’un chien qui peut profiter de longues promenades chaque jour, ainsi que d’activités régulières aux côtés de son propriétaire.
Gardez bien à l’esprit que le Pomsky est une race un peu particulière, car il existe de grandes disparités entre les individus, en fonction du pourcentage de Husky ou de Loulou de Poméranie. Dresser une situation applicable à tous les chiens est donc difficile, d’autant que le caractère du Pomsky peut varier.
Avant d’adopter un tel toutou, essayez de prendre quelques instants pour faire une évaluation sérieuse de votre situation personnelle :
Si vous avez répondu oui à toutes ces questions, alors vous pouvez sans aucun doute envisager l’adoption d’un Pomsky. Mais la vie en appartement est un peu différente d’une vie en maison avec un tel chien, même si la situation ne sera pas la même pour un petit Pomsky que pour un grand.
Si vous travaillez hors de chez vous, essayez de revenir durant votre pause pour vous occuper de votre toutou. Un chien ne doit jamais rester seul trop longtemps, et encore moins un Pomsky. Si le Spitz Allemand est souvent plus indépendant, le Husky, en revanche, supporte très mal la solitude. Ne prenez pas de risque. Si vous ne pouvez pas rentrer, demandez de l’aide à un ami, une connaissance ou à un voisin. Pourquoi ne pas faire appel à un service de pet sitting ?
Une fois de retour chez vous, passez du temps avec votre Pomsky. Promenez-le, jouez avec lui et permettez-lui de se détendre les pattes suffisamment longtemps. Vous pouvez éventuellement lui faire faire une grande balade avant de partir : votre toutou sera ainsi plus enclin à dormir en vous attendant.
Pensez à acheter suffisamment d’accessoires pour votre Pomsky : il doit non seulement disposer d’un panier bien adapté, mais également de nombreux jouets pour pouvoir s’occuper durant vos absences. Un chien qui s’ennuie est un chien susceptible de manifester son mal-être par des aboiements, qui risqueraient de déranger les voisins, ou par des destructions. Vous pouvez aussi participer à des activités canines avec votre adorable toutou : il vous suivra avec plaisir dans des concours d’agility ou d’obérythmée, à condition d’avoir été correctement éduqué !
Dernière chose très importante : votre immeuble doit disposer d’un ascenseur si vous vivez dans les étages supérieurs, surtout si votre Pomsky appartient à la grande variété. Les escaliers sont mauvais pour les grands chiens, car ils sont à l’origine de problèmes articulaires. Ils sont moins problématiques pour les chiens plus petits, car vous pourrez éventuellement les porter dans vos bras, mais il reste préférable d’avoir un ascenseur à disposition pour éviter les accidents.
Tous les chiens doivent apprendre à être propres et à rester seuls. Mais cela est d’autant plus important si vous vivez en appartement. Un chien livré trop longtemps à son triste sort risque de se mettre à aboyer et de provoquer des conflits de voisinage. De même, un chien incapable de se retenir fera des dégâts dans votre logement.
L’apprentissage de la propreté prendra très certainement un peu plus de temps que si vous viviez dans une maison avec un jardin, mais rassurez-vous, la tâche est loin d’être impossible. Armez-vous de patience. Sortez votre petit chiot Pomsky après ses nuits, après ses siestes, ainsi qu’après ses jeux et ses repas. Félicitez votre toutou dès qu’il fait ses besoins où il le faut. Ne le disputez pas s’il s’oublie dans votre appartement. Nettoyez et poursuivez l’apprentissage. Au bout de quelques semaines, votre Pomsky sera devenu propre.
Apprendre la solitude à votre Pomsky est indispensable. Un chien incapable d’être séparé de son maître est un chien qui sera malheureux. Commencez son éducation dès l’arrivée de votre petit chien chez vous. Sortez quelques minutes sur le palier de votre logement. Ne parlez pas à votre Pomsky au moment de quitter votre appartement. De même, ne le rassurez pas quand vous revenez. Il ne faut pas que votre chiot associe ces événements à votre absence. Augmentez progressivement la durée de vos absences, jusqu’à ce que votre Pomsky puisse rester seul pendant plusieurs heures.
À l’heure actuelle, on manque encore de beaucoup de recul sur la santé du Pomsky, et il est donc difficile de se prononcer sur la solidité de la race. Le Husky et le Spitz Nain sont tous les deux des races de chiens robustes, mais il n’est pas certain que cette robustesse ait été transmise au Pomsky. D’autant que cela peut aussi supposer que le Pomsky a également hérité des problèmes de santé propres à ces deux races. On estime son espérance de vie entre 12 et 15 ans, ce qui est très correct, mais là encore, difficile d’avoir le recul nécessaire alors que la race n’a été créée qu’en 2012. Sachez cependant que l’on dit souvent que les petits chiens vivent plus longtemps que les autres.
Si l’on se base sur le Husky et le Poméranien, les éventuelles maladies du Pomsky pourraient être :
La cataracte est une maladie oculaire qui se caractérise par une opacification progressive du cristallin. Cette opacification est visible, car un voile semble se poser sur l’œil. Ce n’est pas une maladie à prendre à la légère, et il faut consulter au plus vite. La cataracte peut en effet mener à une cécité complète. Un traitement chirurgical existe pour remplacer le cristallin touché.
Cette maladie articulaire touche surtout les races de chiens ayant une taille moyenne et les races des grands chiens. Il s’agit d’une déformation de l’articulation de la hanche, qui, à terme, finit souvent par entraîner une immobilité si rien n’est fait pour stopper la maladie. La dysplasie de la hanche est souvent héréditaire, mais elle peut aussi être circonstancielle si le chiot est trop sollicité durant sa croissance.
Il s’agit d’une dépilation d’une zone de poils plus ou moins grande. Il n’existe pas de traitement pour lutter contre l’alopécie, mais il est possible de ralentir la chute des poils. Le chien ne souffre pas et sa santé n’est pas mise en danger. Il vaut simplement veiller à bien le protéger du soleil, car sa fourrure ne fait plus écran avec les rayons.
Le Husky comme le Poméranien ne sont pas toujours les races de chiens les plus faciles à éduquer. En réalité, sa facilité d’éducation dépend aussi du pourcentage de Husky ou de Poméranien que possède votre toutou. S’il a surtout pris du Husky, son dressage ne sera clairement pas une mince affaire.
Ce type de chien sera plus indépendant, et vous devrez donc vous montrer patient avec lui. À l’inverse, un Pomsky qui tient plus du Spitz Allemand sera un peu plus réceptif, même s’il possède aussi le caractère parfois têtu de son illustre ancêtre.
Dans les deux cas, procédez avec méthode et ne vous énervez pas pour un oui ou pour un non. La patience est la clé de l’éducation canine. Si vous avez le moindre doute, n’hésitez pas à faire appel à Élevage Passion Pomsky pour vous aider.
L’alimentation d’un chien a un impact direct sur sa santé. C’est pour cette raison qu’il faut se montrer très sérieux et appliqué au moment de choisir la nourriture de votre Pomsky. Aujourd’hui, il est souvent très difficile d’y voir clair parmi l’offre colossale proposée aussi bien sur Internet, qu’en magasin ou chez le vétérinaire. Alors comment être certain de faire le bon choix ? Voici nos conseils.
Il est impératif de bien savoir lire et de décrypter les étiquettes des croquettes ou des pâtées que vous souhaitez acheter. En effet, c’est la seule manière d’être certain de ce que vous donnez à votre Pomsky. Les compositions sont très variables, et l’on trouve du très bon comme du très mauvais. Voici les éléments qui doivent retenir votre attention :
Les croquettes pour le Pomsky n’ont pas la vertu de rester figées dans le temps. L’alimentation d’un chien doit en effet s’adapter à l’âge de votre chien, mais également à ses besoins nutritionnels, qui changent en fonction de l’état de santé de l’animal. Un petit chiot ne mange pas la même chose qu’un chien stérilisé ou qu’un chien senior.
Consultez votre vétérinaire si vous pensez qu’il est temps de changer le contenu de la gamelle de votre Pomsky. Ne prenez pas cette décision de votre propre chef. Vous pouvez également avoir recours à des compléments alimentaires pour cibler des problèmes bien précis chez votre toutou, mais là encore, il est primordial de demander l’avis à un spécialiste avant de vous lancer.
Il arrive que certains propriétaires ne souhaitent pas donner de l’alimentation industrielle à leur chien. Si c’est votre cas, ne vous inquiétez pas. Des solutions existent :
Le Pomsky est un chien de type nordique, en raison de sa parenté avec le Husky Sibérien. Il a donc tendance à perdre beaucoup de poils. Il faudra veiller à bien le brosser, surtout en période de mue au printemps et à l’automne : le brossage devra être quotidien. Munissez-vous des outils adéquats afin de ne pas blesser votre Pomsky, et surtout, évitez les gestes trop brusques. Le poil long de ce toutou demande de la délicatesse.
Vous n’avez pas besoin de laver votre chien très souvent. Il est conseillé d’éviter la répétition des bains, car celle-ci favorise l’apparition des problèmes dermatologiques chez le chien. Là encore, choisissez les bons produits : ils doivent être adaptés aux chiens, car le pH de ces derniers est différent du nôtre. Ne choisissez surtout pas des produits dans votre propre salle de bain ! Lavez votre Pomsky avec une eau tiède et séchez-le avec une serviette, ou s’il l’accepte, avec un sèche-cheveux réglé sur une température basse ou moyenne.
Les soins du Pomsky doivent être complétés par un nettoyage des dents, des oreilles et des yeux. Apprenez à votre petit chiot à accepter la brosse à dents dès son plus jeune âge, et utilisez un dentifrice créé spécialement pour les chiens. Inspectez ses oreilles à la recherche d’éventuels parasites ou débris, et utilisez une lotion auriculaire spéciale pour les nettoyer. Enfin, nettoyez les yeux de votre toutou à l’aide d’un sérum physiologique ou d’une lotion spéciale. Si possible, le nettoyage doit avoir lieu une fois par semaine.
Votre Pomsky doit être examiné au moins une fois par an par un vétérinaire. C’est le meilleur moyen de vous assurer qu’il est en bonne santé. Profitez-en pour faire tous les rappels des vaccins, ainsi que pour lui administrer les antiparasitaires et les vermifuges nécessaires.
Si vous souhaitez acheter un panier à votre Pomsky, quelques recommandations d’usage s’imposent. La règle d’or est de toujours acheter un panier adapté aux dimensions de l’animal. ll est tout à fait inutile de choisir un panier trop grand en pensant faire plaisir à votre chien, tout comme un panier trop petit ne sera pas confortable pour lui.
Attention également au matériau choisi. Si votre Pomsky a des tendances à la destruction ou s’il aime mordiller tout ce qui lui tombe sous les crocs, choisissez un panier en plastique, plus solide et également plus facile à laver. Sinon, vous pouvez vous tourner vers des paniers en tissu et en cuir, qui ont l’avantage d’être un peu plus confortables. Dans tous les cas, évitez les paniers en osier : une fois détruits, ils peuvent provoquer un étouffement ou une occlusion intestinale.
Installez votre chien dans un endroit calme et loin du passage. Il doit pouvoir s’y reposer sans crainte d’être dérangé. Si vous avez des enfants, apprenez-leur à bien respecter le sommeil de votre Pomsky. Ne placez pas le panier en hauteur : c’est le meilleur moyen de provoquer des douleurs articulaires chez votre chien.
Le Pomsky peut-il dormir dehors ? La plus grande variété de Pomsky pourra en effet rester dans votre jardin à condition que vous lui achetiez une niche adaptée. Là encore, privilégiez les niches qui correspondent aux dimensions de votre toutou. Achetez une niche en bois, mieux isolée et plus solide sur le long terme, et installez-la dans un coin dégagé de votre terrain. Celui-ci doit être parfaitement clôturé pour éviter les fugues ! Pour les variétés plus petites de Pomsky, réfléchissez bien. Un chien de cette taille est facile à voler. Ne prenez pas de risques et gardez-le plutôt à l’intérieur de votre logement.
Le niveau d’énergie du Pomsky dépend de son pourcentage de Husky ou de Poméranien, même si dans les deux cas, vous aurez quoi qu’il arrive un toutou avec de l’énergie à revendre. Ce n’est pas du tout un animal fait pour rester inactif, et il a besoin de se dépenser chaque jour. Les Pomskies avec des grandes tailles seront plus endurants que les autres, mais même les petits Pomskies et les Pomskies nains doivent aussi profiter de bonnes promenades.
Prévoyez assez de jeux et de jouets pour votre toutou, surtout si vous comptez le laisser seul quelques heures. L’ennui est le pire ennemi du chien, et ce, peu importe la race. Achetez des jouets d’intelligence et consacrez assez de temps chaque jour à votre Pomsky. N’hésitez pas à faire des activités avec lui, comme l’agility ou l’obé rythmée. Votre chien prendra aussi un grand plaisir à vous suivre lors de vos randonnées.
Bien que la race ne soit pas reconnue en France, le Pomsky n’est de toute façon ni un chien de chasse, ni un chien de catégorie. Pour cette raison, il n’a pas besoin d’une assurance spéciale. Les animaux de compagnie sont en général déjà couverts par les assurances de responsabilité civile, que l’on trouve notamment dans les assurances habitations.
Ce type d’assurance assure les membres dépendants de votre foyer : enfants comme animaux. Les membres dépendants sont sous votre responsabilité, et c’est donc vers vous que l’on se tournera en cas d’accident. En fonction de votre contrat, vous serez remboursé d’un certain montant, si votre petit Pomsky venait à commettre des dégâts sur autrui ou sur les biens d’autrui.
Lisez bien votre contrat pour prendre connaissance des conditions du remboursement, car elles varient d’une compagnie d’assurance à une autre. Il n’est d’ailleurs pas rare que les organismes rechignent à vous rembourser s’ils considèrent que l’origine de l’accident est due à une négligence de votre part. Prenez connaissance des clauses d’exclusion pour ne pas vous retrouver démuni.
Enfin, gardez en tête que ce type de contrat ne servira à rien si c’est votre Pomsky lui-même qui subit des dégâts ou un accident. Dans ce genre de cas, il faut faire intervenir l’assurance de la personne responsable.
La mutuelle pour un Pomsky est-elle obligatoire ? Non, comme l’assurance, la mutuelle pour les chiens est tout à fait facultative. Cependant, il est toujours bon de s’interroger sur son utilité, car elle pourra vous dépanner en cas de besoin. La mutuelle pour les chiens fonctionne sur le même principe que notre propre mutuelle : vous obtenez, contre des cotisations, des remboursements pour les soins de votre chien.
Ces remboursements dépendent bien sûr du montant de vos cotisations et de votre type de contrat. Mais la mutuelle reste un outil pour vous permettre de faire face plus facilement aux dépenses vétérinaires, qui sont parfois très élevées en France, au point que certains propriétaires se voient contraints de renoncer à faire soigner leur chien.
Si vous songez à souscrire à une mutuelle pour Pomsky, comparez les contrats, en prêtant une attention toute particulière aux clauses d’exclusion, ainsi qu’aux montants des remboursements et aux délais de carence. Il n’est pas rare que les mutuelles excluent les chiens déjà malades ou trop âgés, alors n’attendez pas trop longtemps si vous souhaitez souscrire un contrat. Vérifiez bien les maladies prises en charge : là encore, les organismes d’assurance excluent très souvent les pathologies génétiques ou héréditaires.
Le prix d’achat moyen d’un Pomsky varie en fonction des origines des parents et de leurs caractéristiques. C’est un chien particulièrement cher, en raison de sa rareté en France. Cependant, n’oubliez pas que le Pomsky n’est pas une race reconnue officiellement par le LOF, peu importe son pedigree. Même si votre chien est cher à l’achat, cela n’en fait pas de lui un chien de race au sens strict du terme.
Notre conseil : renseignez-vous bien sur les élevages et visitez-en plusieurs avant de vous décider. Posez des questions aux éleveurs pour savoir s’ils connaissent bien leur métier ou non. Il y a très peu de chances que vous trouviez des Pomskies dans des refuges ou des associations.
Faites bien attention aux petites annonces des particuliers qui passent par des sites comme le Bon Coin sur Internet. En raison du vide qui entoure cette race, vous n’avez aucune garantie de tomber sur une personne sérieuse et bien renseignée sur le Pomsky, surtout si le prix paraît vraiment trop bas pour être honnête. Pour ce faire, vous pouvez entièrement faire confiance à votre élevage de Pomsky près de Cavaillon, Carpentras et Orange, nommé Élevage Passion Pomsky.
Dans l’ensemble, le Pomsky est un chien ressemblant à un petit Husky. Il est essentiel de suivre la norme AKC pour le Husky dans des emballages plus petits. Le chien doit maintenir l’agilité et l’endurance du Husky, l’objectif étant d’être un petit Husky, plutôt qu’un Poméranien de couleur Husky.
Les yeux doivent être en forme d’amande et posséder une apparence émouvante. Du milieu de l’épaule à la base de la queue, ne doit pas être plus long que du milieu de l’épaule au bas du pied. Les chiens trop courts sur pattes ou trop longs dans le dos, sont une disqualification. La ligne du dessus ou du dos doit être un vrai détroit avec seulement une légère pente, le cas échéant, vers la queue.
En regardant le chien de face ou de dos, les pattes doivent être équilibrées et apparaître parallèles. Les coudes et les genoux ne doivent pas tourner vers l’intérieur ou vers l’extérieur. Les genoux ne doivent pas être droits, ils doivent avoir une grande courbe possédant l’allure d’un Husky prêt à courir et à sauter avec une apparence musclée.
Vue de côté le foret doit être de niveau, un léger chevauchement des dents supérieures est autorisé. Les sous-occlusions ou les chevauchements qui entraînent un écart sont une disqualification. L’os du chien doit être proportionnel à la taille du chien et ressembler à nouveau à un Husky. Les chiens avec trop d’os ou trop épais sont autant un problème que ceux qui sont trop maigres et nous devons toujours rechercher l’équilibre.
Le Pomsky doit avoir un museau mi-long avec une apparence modérément épaisse. Il ne doit pas être aussi court qu’un Pom, ni aussi long qu’un museau de Husky typique, mais au total, être d’environ 1/3 de la longueur totale de la tête avec le museau inclus. Le nez foxy n’est pas souhaité et nous devons nous efforcer d’épaissir ceux avec cette construction. Un peu plus de 1/3 est ok, mais certainement pas 1/2.
Pour plus de renseignements sur la race du Pomsky ou pour plus d’informations sur l’Élevage Passion Pomsky situé à Avignon, n’hésitez pas à contacter le 06.61.90.68.90.
Élevage Passion Pomsky
Contactez dès maintenant Élevage Passion Pomsky,
votre élevage de Pomsky près d'Avignon,
pour adopter votre adorable compagnon à quatre pattes.